Wednesday, July 4, 2012

Poème dans la désespoir

C'est veritable, la douleur donne de l'inspiration, sauf pour manger.
C'est un lueur pour la peinture, pénible dans les veines...
Belle comme l'obscurité de la nuit qu'embrasse les âmes sans abri,
Dans un hiver qui menace d'être froid avec ceux qui n'ont pas plus que les souvenirs de leur ancienne gloire...
Et mon vœux là, c'est la joie...
Cette petite goute lumineuse
Que j'écrase sans le vouloir à chaque fois que j'essaie de m'approcher
Et la désespoir... de ne pas être capable de tenir entre mes lèvres.
De savoir qu'il y a-t-une chose que je vais jamais être capable de me pardonner
Si jamais ça arrive à être vrai
Si jamais le mal est fait, et je vais le savoir
mais  il faut patienter...
Je prie aux toux les dieux que le mal soit juste illusoire,
tel que Maldoror, juste une invention du conscient...
(Es una verdad, el dolor da inspiración, salvo para comer
Es un destello para la pintura, penitente en las venas...
Bella como la obscuridad de la noche que abraza las almas vagabundas
En un invierno que amenaza de ser helado para aquellos que no tienen más que los recuerdos de su antigua gloria...
Y mi voto ahora, es la felicidad...
Esta pequeña gota luminosa
Que despedazo sin quererlo cada vez que trato de aproximarme
Y la desesperación... de no ser capaz de sostenerla entre los labios
De saber que hay una cosa que jamás me perdonaré
Si algun día llega a ser comprobada
Si a caso el mal está hecho, y lo sabré
pero falta que espere...
Rezo a todos los dioses que este mal sea ilusorio,
tal como Maldoror, tan solo una invención del consciente.)

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